quarta-feira, 14 de abril de 2010

Grotesque beautée


Alcool, sueur, mer, étouffante taverne d’une cave d’un port marin.
Les putes vendent leur corps, les marins vendent leurs âmes.
Le marché se conclu irremédiablement dans le fond d’un verre.
Pestilence. Passé. Futur. Les bateaux arrivent et ils partent.
Le désespoir se boie et se fourre. Lumière maudite, vie salope.
Ébriété.
Loin des salons et de l’absinthe de Montmarte, le jeu et les règles sont les mêmes.
Satin ou bure. Le regard torve est le même.
Change couleur et odeur mais la pourriture est la même.
Et les étoiles, eh bien, elles aussi sont les mêmes.


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